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Multimed à Erstein 2009

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30 octobre 2009

salut c moi damien

bonjour tout le monde

Je me présente je m'appelle damien et je souhaite créer mon blog pour promouvoir mon intérêt pour internet et l'informatique.

Je voudrai faire part de mon intérêt pour internet et aider quiconque qui le veuille

Je suis ouvert à toute proposition

vous pouvez venir m'en parler

merçi à bientôt

damien le big boss

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30 octobre 2009

Le passage du noir au blanc...

Le passage du noir au blanc à la couleur, dans le 7ème art, s'est fait de façon progressive.En effet, différentes formes de colorisation sont apparues.

La colorisation manuelle apparaît en 1897 lorsque Georges Méliès fait coloriser à la main les images de son film " Le Manoir du diable".Par la suite, la colorisation chimique  fait son apparition.Les teintes pour cette méthode étaient choisies en fonction des ambiances comme par exemple, le vert pour les paysages ou le bleu pour la nuit.En 1905, la colorisation au pochoir est utilisée par la firme Pathé car les films sont de plus en plus longs et le travail de colorisation plus lourd.Par ailleurs, en 1915 la première caméra Technicolor apparaît et utilise un prisme pour diviser la lumière.

30 octobre 2009

Le Musée Würth

Le Musée Würth est situé à côté du siège social de Würth France, aux abords du parc paysager de l’entreprise.

La confrontation entre les deux bâtiments sous-tend le programme architectural des cabinets lyonnais de Jacques et Clément Vergély : la transparence du vaisseau de verre du siège exprime un contrepoint à l’opaque géométrie des murs de béton brut du Musée.

L’édifice abrite trois salles : une nef monumentale au rez-de-chaussée, et à l’étage deux beaux espaces, pour une surface d’exposition totale de

800 m2

. La conception technique de l’éclairage, imaginée par Marc Fontoynont, privilégie l’apport optimal de la lumière naturelle.

Le parc conçu par Martine Rascle, trophée de l’Arbre d’Or 2000 s’étend sur

5 hectares

: il suscite des perceptions multiples, de loin comme de près. À l’échelle du paysage de la plaine d’Alsace, le parc est un bosquet au milieu des cultures et offre un refuge à la faune. À l’échelle de la parcelle, les espaces s’enchaînent, du plus minéral au plus naturel, du plus visible au plus secret, du plus lumineux au plus ombragé.

Les essences diverses forment un écrin végétal touffu et varié, abri des oiseaux et havre pour les hommes. Un « éclair d’eau » fend les frondaisons des arbres, concentre la lumière et structure le domaine. Les chemins tendent quelques longues lignes dynamiques, les sentiers s’enroulent autour des massifs.

point géographique:

En voiture :
Sur N83
Sortie Erstein

Direction Z.I. Ouest
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- En train :

Ligne SNCF Strasbourg - Bâle

Arrêt : Erstein-gare

10 minutes à pied de la gare au muséearchitecture_facade_musee

30 octobre 2009

le langage cinematographique

L'échelle des plans reste fixe quel que soit l'agrandissement,elle représente la grandeur  des êtres ou des objets de l'espace représenté dans l'image par rapport à la taille de l'image.

Plan d'ensemble embrasse tout un paysage,un décor,un groupe,une foule. Il tend à créer une synthèse,un cadre descriptif,un climat. Il peut aussi isoler un personnage dans un cadre immense.

Plan de demi-ensemble est plus resserré,il ne couvre qu'une partie du décor ou de la foule. Il concentre l'attention sur un groupe bien particulier.

30 octobre 2009

Le Cinéma d'animation

L'animation a commencé à exister bien avant le cinéma. Le folioscope qui donne l'illusion de mouvement lorsqu'on le feuillette, est l'une des première méthode d'animation. Il faut attendre le 19e siècle pour voir l'apparition d'appareils otpiques (appelés jouets optiques) qui permettent de voir des suites d'images animées. La première projection de dessin animé fut réalisé par Emile Reynaud, qui eut lieu le 28 octobre 1892 au musée de Grévin, soit 3 ans avant la scéance du cinématographe des Frères Lumière.

La majorité des grands studios d'animation du 20e siècle sont apparus dans la première moitié de celui-ci dans quelques pays autour de la planète, et ont gardé une place importante pendant tout le siècle. Au cours des années 1990, des nouveaux studios d'animation ont commencé à voir le jour, souvent de petits studios (comme Folimage en France) ou de grands studios d'anciens pays sous-traitant, comme en Corée.

Les différents types d'animations: le dessin animé; le 2D; l'animation en volume (marionettes); images de synthèse (2D et 3D numérique).

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30 octobre 2009

Le Cinéma Sonore

Le cinéma sonore allie images en mouvement et son. Il convient de distinguer cette expression de celle de cinéma parlant, qui n'est qu'une composante du cinéma sonore. En effet, la sonorisation n'est pas toujours passée par la parole, notamment à ses débuts. En outre, le cinéma sonore n'est pas strictement opposé au cinéma muet. En effet, dès les premiers temps du cinéma, même si les films étaient essentiellement muets, leur projection était souvent accompagnée de sons : bruitages réalisés en direct, bonimenteurs, systèmes expérimentaux de synchronisation sur disque, musiciens d'accompagnement… Le cinéma comme art était donc souvent sonore. D'autre part, les débuts du cinéma sonore au sens strict consistèrent parfois à rajouter du son à des films autrefois muets, pour leur redonner vie.

La première projection publique d'un film parlant a eu lieu à Paris, en 1900. Cependant, il a fallu attendre plusieurs années pour que la synchronisation devienne concluante et soit commercialisée. Ainsi, la première projection commerciale eut lieu à New York, en avril 1923. Après l'introduction du son, des films incluant un dialogue furent tournés, aussi connus sous le nom de « talkies », dont Le Chanteur de jazz sorti en octobre 1927. Talkies est une expression populaire américaine, à consonance péjorative ; elle désigne, encore aujourd'hui, les premiers films parlants, quand la technique rudimentaire rendait ceux-ci maladroits et bavards : Stanley Donen a d'ailleurs représenté cet aspect du cinéma sonore dans son film Chantons sous la pluie, sorti en 1952.

Au début des années 1930, les films parlants bénéficièrent d'un succès mondial. Aux États-Unis, ils ont aidé le cinéma hollywoodien à garder sa position de premier cinéma commercial et culturel mondial. Cependant, en Europe et à un degré moindre, dans le reste du monde, ce cinéma fut reçu avec méfiance par les réalisateurs et les critiques qui craignaient alors que le dialogue ne devienne le centre du film, délaissant l'aspect esthétique de l'image.

30 octobre 2009

le langage cinématographiqe

Le langage cinématographique est hétérogène car il combine 5 matières d'expression qui se présentent dans la bande image et dans la bande sonore depuis le parlant:

Bande image:

- l'image photographique mouvante, qui est seule spécifiquement cinématographique (parfois, on peut rencontrer des images "fixes" dans le film)

- Le tracé graphique des mentions écrites (des notations graphiques sont présentes dans l'image).

Bande sonore:

- le son phonique, c'est à dire les paroles

- le son musical

- le son analogique, c'est à dire les bruits

source:  Wikipédia

29 octobre 2009

Un peu de culture générale...

Georges Jean Méliès est un réalisateur de films français. Il est connu pour les développements qu'il apporta aux techniques du cinéma, essentiellement dans le domaine du scénario et des trucages.

IL a voyagé à Londres et en Angleterre pour y perfectionner son anglais; il en profitera pour y apprendre la prestidigitation. Il achète en 1888 le théâtre Robert Houdin, dont il devient le directeur, et y monte des spectacles de prestidigitation et de « grandes illusions ».

Il achète un projecteur à Londres et fonde sa propre société de production qu'il appelle Star Film - sans imaginer la signification universelle que ces mots allaient connaître.

En 1897, il crée un studio vitré dans sa propriété de Montreuil et filme ses acteurs (dont souvent lui-même) devant des décors peints directement inspirés par les spectacles de magie de son théâtre. Il filme également, faute de pouvoir être sur place, des actualités reconstituées en studio. Il développe aussi un atelier de coloriage manuel de ses films, procédé largement inspiré de ce qui se fait pour la colorisation de photos en noir et blanc. Il se fait ainsi tour à tour producteur, réalisateur, scénariste, décorateur, machiniste et acteur.

De 1896 à 1914, il réalise près de six cents « voyages à travers l'impossible », autant de petits films enchanteurs, mystérieux, naïfs, à la beauté poétique aujourd'hui parfois surannée. Courts métrages de quelques minutes projetés dans des foires et vus comme une simple évolution de la lanterne magique.

Son premier film important, l'Affaire Dreyfus (1899), est une reconstitution de 10 minutes qui témoigne de son intérêt pour le réalisme politique. Si son Voyage dans la Lune (1902), chef-d'œuvre véritable d'illusions photographiques et d'innovations techniques, remporte un certain succès, G. Méliès ne parvient cependant pas à rivaliser avec les sociétés à production élevée.

Ses films sont en majorité détruits ou vendus (récupérés au poids et transformés en talonnettes de chaussures). En 1925 il retrouve une de ses principales actrices, Jeanne d'Alcy (de son vrai nom Charlotte Faës, dite Fanny). Elle tient une boutique de jouets et de sucreries dans la gare de Paris-Montparnasse. Il l'épouse et ils s'occupent ensemble de la boutique. C'est là qu'il sera retrouvé par Léon Druhot, directeur de Ciné-Journal, qui le fera sortir de l'oubli.

Son œuvre est redécouverte par les surréalistes et il obtient la Légion d'honneur en 1931.

Il repose au Père-Lachaise à Pariscamera_1

29 octobre 2009

Festivals pour enfants

-Festival du film pour enfants de Lans en Vercors 2009 du 22 au 30 décembre 2009

un festival cinéma 100% jeune public

expositions, rencontres, projections-débats, soirées thématiques et différents ateliers

thème: Adaptation des livres pour enfants au cinéma

-Festival de film pour enfants : 3eme feuilleton de Filem'on du 1 au 8 novembre 2009

thème: Petits papiers d'automne (série de films "classiques")

ateliers: comment faire un petit film d'animation avec du papier découpé

-festival Image et Vie de Dakar: Cumturadakar 9eme édition du 13 au 17 juin 2009

thème: Enfants et regards-croisés

but: Faire découvrir les images du continent et celles d'autres pays et développer le cinéma en Afrique

des films de tout les pays sont projetés, des distinctions sont remises pour les meilleurs films

festival décentralisé: on va de ville en ville

-Festival de Clermont-Ferrand

scéances de court-métrages, ateliers de sensibilisation et ateliers vidéo

Voila, alors tout ça pour dire qu'il existe des festivals pour enfants de l'image et du film, certains connus mondialement, qu'il serait important de connaitre ou du moins de savoir qu'ils existent!

29 octobre 2009

le pré cinema

Comme tout art, comme toute chose, le cinéma n'est pas né du jour au lendemain par l'opération du Saint-esprit mais reste bel et bien le fruit des travaux d'une multitude d'acteurs et créateurs, le résultat de l'étude poussée de divers médiums qui permirent d'imaginer par la suite le célèbre cinématographe des frères Lumière.
Cette période laissée de côté et durant laquelle tant d'expériences sur l'image furent réaliser s'appelle Le Pré cinéma; nous considérerons que cette dernière commence à une date... encore inconnue, et se finit à compter de la création du cinématographe en 1895.
Toutes ces techniques inventées pour animer et/ ou projeter les images avant le cinématographe font partie d'une archéologie du cinéma.

Voici les jouets optiques qui caractèrisent cette période, et qui inspirèrent sans doute les frères Lumière et leurs acolytes:

    Thaumatrope

    Image

    Le Thaumatrope (du grec thauma, prodige et tropion, tourner) est un jouet optique qui exploite la théorie de la persistance rétinienne.

    Il s'agit d'un disque illustré sur ses deux faces et où sont accrochées de petites ficelles sur deux bords opposés. En faisant tourner entre le pouce et l'index ces ficelles, le disque suit le mouvement et les deux dessins se confondent.

    Inventé vers 1820-1825, sa paternité est attribuée la plupart du temps au docteur John Ayrton Paris. Parfois, le nom de William Henry Fitton lui est associé.

    Phénakistiscope

    Image

    Le phénakistiscope (mot formé du grec phenax -akos « trompeur », et skopein « examiner ») est le premier jouet optique donnant l'illusion du mouvement fondé sur la persistance rétinienne. Il a été inventé par le Belge Joseph Plateau en 1831.

    Il comporte un disque rond en carton percé de fentes sur lequel un mouvement est décomposé en une suite d'images fixes et d'un manche permettant son maintien pendant sa rotation. Pour reconstituer le mouvement, la personne se place en face d'un miroir et positionne ses yeux au niveau des fentes ; elle fait ensuite tourner le carton ; les fentes en mouvement ne laissant apparaître l'image qu'un très court instant, le carton entre celles-ci cache l'image quand cette dernière s'échange pour la suivante, servant ainsi d'obturateur. L'œil ne voie donc que des images fixées par la persistance rétinienne, les unes après les autres, ce qui donne une sensation d'animation quand le carton tourne à la bonne vitesse.

    Voir également le zootrope et le praxinoscope qui, utilisent le même principe mais sont mécaniquement différents :

    * le zootrope de William George Horner est un tambour tournant avec fentes datant de 1834 (il ne nécessite plus de miroir)
    * le praxinoscope de Émile Reynaud, de 1877, est un tambour sans fentes comportant en son centre un cylindre à facette de miroirs, présageant le projecteur de cinéma car le mouvement est visible pour plusieurs observateurs en même temps et permet un meilleur éclairage des images. Pour ces raison il est le premier appareil de ce type disposant d'un brevet.

    Zootrope

    Image

    Le zootrope est un jouet optique inventé en 1834 par William George Horner. Se fondant sur la persistance rétinienne, le zootrope permet de donner l'illusion de mouvement.
    Réplique moderne d'un zootrope de l'époque victorienne
    Réplique moderne d'un zootrope de l'époque victorienne

    Tambour percé de fentes sur sa moitié supérieure, il abrite à l'intérieur une bande de dessins décomposant un mouvement. Le tambour est fixé sur un axe dans sa base inférieure, ce qui permet de tenir le zootrope d'une main et de faire tourner le tambour de l'autre. En regardant fixement l'intérieur à travers les fentes, les dessins s'animent.

    Si l'on devait tracer une ligne du temps avec les principales inventions qui ont mené au cinématographe, le zootrope pourrait être placé entre :

    * le phénakistiscope de Joseph Plateau avec son disque percé de fentes et tournant devant un miroir,
    * et le praxinoscope d'Émile Reynaud, plus élaboré et breveté pour ces raisons, car il permet à pluieurs personnes d'observer le mouvement en même temps.

    Praxinoscope

    Image

    Le praxinoscope fut la première invention brevetée d'Émile Reynaud en 1877. Il s'agissait d'un jouet optique donnant l'illusion du mouvement. Ce jouet obtiendra une « mention honorable » à l'Exposition universelle de Paris de 1878 et aura un beau succès commercial. Il permit à son inventeur de continuer ses recherches. Le praxinoscope est ainsi à la base de ses inventions suivantes : le praxinoscope-théâtre, le praxinoscope à projection, le théâtre optique.

    Folioscope

    Un folioscope, ou feuilletoscope, ou flip book en anglais, ou Daumenkino en allemand, est composé d'un ensemble d'images très peu différentes dans leurs contenus dont la succession rapide permet la synthèse d'un mouvement par la persistance rétinienne de l'œil.

    Les images sont des dessins ou des photographies, rassemblés en un livret qu'on feuillette rapidement d'un doigt en cornant un côté de page, ou bien accrochés à un cylindre que l'on fait manuellement tourner à l'aide d'une manivelle et feuilletés par un onglet fixe.

    Il est a rapprocher des jouets optiques du XIXe siècle qui ont précédé l'invention du cinéma.

    Facile à faire sur les feuilles dans le coin d'un cahier.

Image

A noter également les éléments qui relèvent du domaine du spectacle:

    Le théâtre d'ombre consiste à projeter sur un écran des ombres produites par des silhouettes que l'on interpose dans le faisceau lumineux qui éclaire l'écran. Les plus connues sont probablement le wayang kulit d'Indonésie.

    Lanterne magique

    Image

    La lanterne magique est l'ancêtre des appareils de projection et particulièrement du projecteur de diapositives. Elle apparaît au XVIIe siècle, mais sa paternité reste hypothétique. Elle constitue l'exemple type des instruments d'optique dits objectifs.

    Fantasmagorie

    La fantasmagorie, étymologiquement « l’art de faire parler les fantômes en public », consiste à la fin du XVIIIe siècle à projeter et à animer sur un écran de toile ou de fumée des tableaux miniatures peints sur des plaques de verre ou bien gravés sur un support opaque.

    Héritière de la lanterne magique dont la technique ne cesse de s’améliorer depuis le XVIIe siècle, cette forme de spectacle connaît un énorme succès au tournant des Lumières.

    D’une petite peinture ou gravure de facture assez grossière au départ, naît, par la fantasmagorie, une image « mouvementée », un tableau lumineux dont les dimensions peuvent varier considérablement. La possibilité d’animer et d’agrandir ou de rapetisser une image par des manipulations optiques marque une étape dans l’évolution de la notion de tableau.

    Transposé de la peinture à la rhétorique et à l’esthétique à la faveur de doctrines anciennes encore vivaces à la fin de l’Ancien Régime, comme l’ut pictura poesis (voir article en anglais), le tableau a, en fin de compte, investi tous les champs de la représentation. Qu’il soit écrit ou iconique, interprété sur une scène ou projeté sur un écran, il a pour principale fonction de catalyser les émotions du spectateur. La théorie de l’effet formulée par l’abbé Dubos, puis prolongée par Diderot, traduit bien cet impératif en rajeunissant le précepte aristotélicien de terreur et de pitié, ainsi que la pragmatique classique contenue dans le triple credo « instruire, plaire et toucher ». En cherchant à provoquer pareillement les réactions sensibles de leur public, les expérimentateurs du tournant des Lumières, amuseurs publics et charlatans, mécaniciens et physiciens, transforment leurs démonstrations en spectacles à part entière.

    Cette confusion, entre les finalités respectives des arts et des sciences, reflète la difficulté des nouveaux savoirs à s’affranchir de leurs origines ésotériques pour se constituer en domaine exotérique. Le statut de l’expérience scientifique est incertain, ramené du côté du jeu, du sensationnel, comme le prouve l’habitude déjà ancienne d’accoler aux noms de sciences les termes « amusemens »,« récréations », « divertissemens » et les épithètes correspondantes, ce que montre le titre de Robertson : Mémoires récréatifs, scientifiques et anecdotiques d’un physicien-aéronaute.

    Le théâtre optique est mis au point par Émile Reynaud en 1889. Il réunit les techniques de l'analyse du mouvement et les techniques de projections. Cette invention est l'aboutissement d'une recherche longue de plus de quinze ans. Émile Reynaud avait, dès 1876, commencé son travail sur les jeux d'optique avec le praxinoscope, jouet breveté en 1877. Dans l'évolution de cette invention, le praxinoscope-théâtre fut breveté en 1879 puis en 1880 le praxinoscope à projection avec une lanterne magique et enfin en 1889 le théâtre optique. Avec cette invention, Émile Reynaud apporte une nouvelle évolution à ses inventions précédentes : l'action n'est plus contrainte à un mouvement cyclique et permet la narration de petites histoires complexes pouvant se développer sur plus de 10 minutes.

    Théâtre optique

Source: Wikipédia.

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Multimed à Erstein 2009
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